Ignore-this: 934622ef5023645d8fc3bfe91a98a359
Thot avait décidé de ne pas logguer quoi que ce soit, car lors de l'apply de bcfg2, le vieux mot de passe avait été remis. On a pas envie que n'importe qui puisse le lire. On ajoute donc le mot de passe à secrets.py, et on déplace la conf pgsql dans Python/.
darcs-hash:20121213000801-b6762-d5e4a1e935e882230a90bbde3ffb8c1d168cc9d8.gz
Ignore-this: 12d94acb802c462a78c1659dd6c9ddc6
On rajoute le système "reliable forwarding" qui place les logs en RAM ou en fichiers temporaires lorsque le serveur distant est injoignable.
darcs-hash:20120725132938-b6762-893e4b2a791863ad6396bbea1dda502e6fc8b623.gz
Ignore-this: a2f908a874fa21dc99b21b90e2bedf44
Il va être pratique d'ordonner les règles de logs (les règles pour
les sources, on s'en fiche un peu) afin de ne pas forcément tout
balancer à ragnarok (discard dans un fichier < 50)
darcs-hash:20120715174149-28565-cf55d5a56626ce56bc08b5353ac35beaac357659.gz
Ignore-this: 41a02fef256e04bea2ede842338b3432
Les switchs ne nous laissent pas le choix: on doit faire de l'udp. (Du coup,
on n'est jamais sûr que ce sont des logs exhaustifs, mais bon, c'est mieux
que rien.) Il reste un petit soucis: pgsql loggue tout ceci en utilisant
l'ip du switch et non son vrai nom (normalement, la résolution dns
inverse devrait marcher, mais pourtant là, non. Il est très probable que
ce soit un bug.)
Il reste (presque) tous les switchs à flasher pour indiquer l'ip de ragnarok !
Tous sauf bata-0, bata-1, bata-2 et bata-4.
(bata-3, il va falloir aller le voir dans son placard du 6A, il refuse de
se laisser configurer)
darcs-hash:20120427145715-3ca67-82dcc2a3d487e420aaf415a0ee7e51a62d5ef577.gz